Salut,
Je me présente, Jey Fein, bras droit de la guilde les Ecolol'Ytas.
Nous sommes une guilde principalement rôle-play et écologique exclusivement composés de filles, et commençons petit à petit à nous investir en politique.
Plusieurs points communs avec les Oyo, de plus qu'une entraide est toujours la bienvenue, je viens aujourd'hui proposer une alliance entre nos deux guildes.
Pour plus de renseignements, allez voir sur le
forum de guilde. (design presque achevé, il me manque à faire deux screen et à avoir le courage d'ouvrir Photoshop pour que celui-ci soit achevé ; forum en lui-même opérationnel mais pour l'instant peu actif)
Merci de votre lecture, et en espérant vous revoir prochainement en jeu,
Jey Fein.
Présentation générale de la guilde : (par Rianna Feyre, notre meneuse adorée)
Les
Ecolol’Ytas sont un rassemblement de jolies demoiselles habitées par un sens aigu de la beauté –plus extérieure qu’intérieure- œuvrant, sans se casser d’ongles, pour l’hégémonie de l’esthétique à travers l’archipel.
Pour elles, un seul mot d’ordre : être belles au naturel… surtout avec cet adorable rouge-à-lèvre certifié 100% bio à base de graisse d’une espèce animale en voie d’extinction qu’elles se feront un devoir de défendre. Hors de question pour elles de faire une croix au khôl noir sur leur cosmétique préféré par la faute d’un braconnier saccageant l’écosystème pour son petit besoin personnel de puissance au détriment de chacun… Enfin, surtout du leur.
Bien que beaucoup aient besoin d’un ravalement de façade –façon chirurgie plastique sans anesthésiant-, une
Ecolol’Yta n’a pas pour vocation de refaire le portrait du rustre, tout vérolé par la peste ratée qu’il soit. Il arrive que quelques pelles se perdent, par un hasard particulièrement hasardeux, sur les mâchoires des aventuriers passant plus de temps en tête à tête avec un mulou qu’avec leur brosse à dent. Mais dans l’ensemble, les
Ecolol’Ytas savent mettre de côté leur passion pour le crêpage de chignon et autres batailles de beeeluchon quand il s’agit de lutter pour la protection de l’environnement.
Après tout, qui se ressemble s’assemble. C’est donc tout naturellement que ces jeunes filles aux formes plantureuses se rapprocheront de leurs consœurs végétales –et non végétatives- en glissant quelques fleurs d’Amakna dans leur chevelure et semant leurs graines de-ci, de-là… jusqu’à en faire succomber tous les allergiques aux pollens dans un torrent d’éternuement et d’œil-qui-pique.
Comment rejoindre ce petit groupuscule d’activistes qui le valent bien ?
Rien de plus simple ! Il suffit de vous prémunir de votre plus beau sourire, de votre carte de membre de l’association « 30 millions de manteaux en fourrure » fondée par la fameuse Rigide Barjo et du Label Faune Ethique.
Qu’est-ce que le Label Faune Ethique ?
Il s’agit d’un petit bout de papier recyclé légèrement parfumé aux huiles essentielles de rose ténébreuse, délivré uniquement par les leaders autoproclamées du mouvement. Pour ce faire, il vous faudra remplir quelques conditions comme :
- un goût immodéré pour les bains dans du lait de boufette, les massages à la boue de boo –particulièrement hydratant pour la peau- et les après-midi shopping,
- avoir une paire de chromosome X -pour ne pas tâcher la moquette pendant les pyjamas parties-,
- savoir s’exclamer « Hiiii ! Un bébé tofu ! Comme il est mignoooon ! » sans se douter qu’il se retrouvera tôt ou tard dans votre assiette sous forme de boulettes de tofu,
- et surtout ne pas avoir un accent bwork à couper au couteau.
N’hésitez donc pas à les contacter si vous vous sentez l’âme –et le physique attrayant- d’une Ecolol’Yta, ni même à les saluer au détour
d’un lèche-vitrine au Faubourg de la Sainte Eau dorée, haut lieu de la mode de Bonta qu’elles fréquentent assidûment.